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Alexandre del Valle : Giorgia Meloni vs. Ursula von Der Leyen, mythe démenti d’une alliance européenne contre nature

CHRONIQUE. En, refusant d'apporter son soutien à la présidente sortante de la Commission européenne, la Première ministre italienne Giorgia Meloni a surpris nombre d'observateurs. Cette décision est pourtant la résultante d'une longue liste de différends idéologiques et politiques



Sans grande surprise, Ursula von der Leyen a été confirmée le 18 juillet dernier à la présidence de la Commission européenne, malgré la récente décision de la Cour de justice de l’UE qui a critiqué des manquements dans sa gestion des achats de vaccins durant la crise du covid. La Cour a en effet estimé qu’elle avait commis la faute de restreindre l’accès du public à certains détails et clauses des contrats d’achats de vaccins par la Commission. Parmi les « irrégularités » pointées par le Tribunal européen figure le refus de divulguer les déclarations d’absence de conflit d’intérêts des fonctionnaires de l’exécutif européen chargés de négocier ces achats avec les laboratoires pharmaceutiques.


C’est dans ce contexte que la première ministre italienne Giorgia Meloni a donné mandat à son parti Fratelli d’Italia (FdI) pour voter contre la réélection d’“UVDL”. En réalité, plusieurs raisons peuvent expliquer l’attitude de Mme Meloni qui a surpris tous ceux qui croyaient que les deux femmes étaient devenues durablement complices.


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